20 February 2010

Word du jour: AMSTERDAM

Visite de musée Van Gogh, Anne Frank, Rembrandt...les canaux, le Red Light District, les coffee shops, les sex shops, les pancakes et les trams...une ville de découvertes et nouveautés - des fois même un peu dépassante. Lors de ce premier séjours dans cette ville pleine de charme et ouverture d'esprit, je suis séduite...partiellement, mais ceci n'a rien avoir avec la ville, mais plutôt la commercialisation qui ne fait que s'amplifier dans cette société moderne.

En visitant certains musées, je suis laissé atristée et non émue par les œuvres ou histoires qui sont devant moi. Je me rends comptes à quel point les musées d'arts ainsi que le sex sont des business lucratifs... En temps que jeune femme dans le Red Light District, regardant ces beautés maquillées, à corps tonifiés et bronzés dans les vitrines, je reste perplexe. J'espère simplement qu'elles sont là de leur propre grés. Je ne suis pas dans une position à juger... et je ne permettrais pas... mais j'espère qu'il n'y a pas de réseaux pervers et affreux derrière ces visages masqués de maquillage et cheveux décolorés... Ensuite, les musées d'arts avec leurs magasins 'souvenirs' ne se limitent plus à vendre des simples cartes postales des oeuvres ou des livres sur l'artiste. Maintenant, on peut trouvé parapluie à motif de tableaux, t-shirt, sous-verre, tasse et assiette ou encore gomme, règle et crayons. Cela m'atriste...

I feel there is a certain loss of authenticity; the stories and works of arts are presented in such sterile and controlled environments. I even question whether the brush strokes you see are genuine. It all feels so removed from the creators of these works and stories. My mother expresses her saddness at how neither Van Gogh nor Anne Frank will ever know the success they have reached. They have powerful works that have moved hundreds of people across the globe, gaining international recognition...yet, she wonders for what. Because those at the source died before any such glory was had. So, she asks, what was the point if they don't know? But perhaps that's the point - if they hadn't of died, would the story be quite the same...